Quanzhi Mandarine de Pu Erh

À propos de «Quanzhi»

Quanzhi est unesorte de méthode de semis. Il s'agit de couper une couche d'écorce autour des branches du parent de l'oranger, puis de l'envelopper avec des substances favorisant les racines telles que la boue et l'herbe. Une fois que les racines poussent là où l'écorce est coupée, les branches seront coupées et cultivées en un seul arbre fruitier. Les espèces d'arbres cultivées de cette manière sont relativement courtes et ont une faible résistance aux maladies et aux insectes ravageurs; son fruit est relativement petit, la peau est fine et le rendement est faible. Cependant, son fruit est incroyablement parfumé et ses gènes sont plus orthodoxes, donc la peau contient plus d'huile d'agrumes et de flavonoïdes, qui auront un meilleur goût après avoir été transformés en thé pu-erh à la mandarine verte.

De plus, le séchage de la mandarine verte est également l'une des étapes les plus importantes. La méthode traditionnelle «shengshai» (séchage par la lumière du soleil) ne casse pas les teneurs en nutriments sur la peau d'orange comme le séchage en machine à haute température. Il fait non seulement sécher lentement la petite mandarine verte pour produire un arôme unique, mais conserve également son goût d'origine dans la plus grande mesure et le rend plus frais et plus doux.

Ce thé Pu-erh mûri à la mandarine verte est fabriqué à partir de ce genre de mandarines vertes « Quanzhi ». Comparé à l'autre thé Pu-erh mûri à la Xinhui Mandarine de Pu Erh de ThéCâlin, son arôme d'agrumes est plus proéminent et plus résistant à l'infusion. Il convient au goût général, y compris les débutantsdu théPu-erh mûriet les amateurs de thé qui apprécient lemélange duthé.

Les jardins de Jiu Tai Po

Ces jardins sont situés à proximité de la ville de Pu Erh, entre 1.800 et 2.000 mètres d’altitude, dans un environnement boisé accessible uniquement par des chemins de terre, donc à l’abris des nuisances liées aux activités modernes.

Dans cette plantation, on trouve des théiers entretenus en terrasses et taillés à hauteur d’homme pour faciliter la récolte. Ils sont protégés des rayons du soleil par de grands arbres et de vieux théiers poussant à l’état semi sauvage.

Bien que M Yang, le producteur de ce Pu Erh, par crainte d’un coût trop onéreux, ne s’est pas encore engagé dans la démarche d’une production en « Agriculture Biologique », sa plantation de Jiu Tai Po est sur la bonne voie comme le prouve la présence de pièges biologiques à insectes (petits panneaux de couleur jaune qui attirent les nuisibles et les retient grâce à une colle naturelle) et les animaux qui en pâturant autour des théiers font à la fois office de désherbant et d’engrais 100% écologiques.

La ville de Sanjiang doit son nom au confluent de Tanjiang, des voies navigables de Jiangmen et de la rivière Hukeng sur le territoire. La terre formée par l'accumulation des rivières est extrêmement fertile et convient le mieux à la culture. Par conséquent, la culture de la mandarine Xinhui dans la région de Sanjiang a une longue histoire et peut être considérée comme l'une des zones de production traditionnelles de mandarines Xinhui. La superficie en eau de la ville de Sanjiang représente environ 23% et les plaines alluviales environ 63,8%. Cela signifie que Sanjiang a un bon état du sol, une teneur élevée en matières organiques et une irrigation pratique, ce qui offre des "avantages géographiques" pour la culture des mandarinesvertes Xinhui.